Des jambons, des boudins, des viandes de porc et tout cela fait partie d’une table de charcuterie. Les Pays basques sont de grands consommateurs de la charcuterie, et c’est toujours un moment extraordinaire de se mettre autour de la table en savourant un bon repas.
Qu’est-ce qu’il y a dans les charcuteries ?
Selon les analyses des nutritionnistes, une personne consomme moins de 30 kg de charcuteries par an. Et même si auparavant, les équipes de santés ont interdit ce produit parce qu’ils sont déclarés cancéreux, beaucoup de gens se ruent encore vers sa consommation. En réalité, tout peut être cancérogène quand on se lance sans modération.
Juste une petite revue sur le marché, les charcuteries sont des viandes conservées. C’est ce mode de concertation qui pose du souci au milieu médical à l’usage des produits chimiques. En ce moment, tous les produits acceptés sur les étagères sont traités sans nitrite chimique, mais végétal, et c’est largement mieux, même s’il faut toujours les consommer avec attention. Les producteurs de la charcuterie basque ont totalement une autre manière de traiter les viandes.
La charcuterie noble des Basques
Dans la tradition des Pays basques, la coupe du jambon est un moment crucial, et c’est même un rituel à ne pas rater. Pour eux, ce jambon est sacré, et c’est pour cela qu’il doit être découpé par une personne spéciale nommée « Contador ». Cette personne a ce don ou a appris la technique de couper les jambons en tranche très fine. Et c’est vrai qu’une bouchée de cette lamelle de viande nous emporte sous les saveurs de l’arome d’une viande, de la noisette, et un peu de sous-bois.
Il n’y a pas de meilleur moment pour manger de la charcuterie. En fait, le jour, les gras de la viande vont se fondre sur les chairs qui va l’attendrir, et la nuit le jambon va s'épaissir et absorbe ses matières grasses afin d'activer ses arômes fermentés.